La règle « 3-6-9-12 » relayée par l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA) est on ne peut plus claire…pourtant…
et ça ne mentionne même pas le téléphone mobile.
Quand je ne savais pas, c’est à dire en 2000, fin du 19ème siècle, et bien sans réfléchir ou par excès de confiance, mon fils aîné a utilisé le téléphone mobile. Pour entendre les amis au loin, la famille, ses grands-parents, dont un qui vit à 10000km…voilà je ne savais pas et comment aurais-je pu m’en douter ? Je n’y connais rien.
Merci, il se porte bien. Rien à signaler de dramatique. A l’époque le mobile-phone ne faisait ni appareil photo, ni grille-pain ou bouilloire (private joke), il était utilisé juste pour dire « bonjour, tout va bien et blablabla ».
Puis, j’ai lu diverses informations, en voici un éloquent résumé :
-Téléphone portable, Wi-Fi – Ondes : la vérité est-elle ailleurs ?
-Les ondes
Ni une ni deux, j’ai éteint le plus possible le-dit objet. On a remplacé le wifi par du filaire…sans certitudes que ce soit mieux ou non.
Pendant ma seconde grossesse, j’ai éloigné le plus possible le téléphone, pareil depuis la naissance. Mais est-ce que cela suffit ? Les ondes sont partout, même dans la cuisine quand le micro-ondes fonctionne.
Je lutte mais parfois je tape quand même des sms près de bébé, je navigue sur FB quand l’ordi n’est pas disponible…
Cette génération sera ce qu’elle sera. C’est fou de se dire qu’on ne sait pas ce qui les attend et quand on le saura, il sera peut-être trop tard. C’est vraiment exaspérant et flippant.
En attendant, en agissant,… bref, pour le moment, le principe de précaution, me semble une alternative raisonnable. En tous cas, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas.
Mais rassurons-nous :
Si c’est utile de le préciser : en EAJE, je trouve que c’est normal que les téléphones soient interdits à proximité des enfants… c’est au-delà du bon sens.