Je partage une publication de Charlotte Hoefman. Ses mots sont aussi ceux qu’il y a dans mon cœur. Je la remercie.
Quand j’évoque l’amour, cela n’a rien à voir avec le sentimentalisme. Personne n’a à se sentir obligé d’aimer qui que ce soit. Ne pas nuire (=juger = dévaloriser, jalouser, critiquer, étouffer, s’approprier…) peut suffire. Chacun joue son rôle dans cette grande pièce de théâtre, souvent de mauvais goût.
Je suis la première à supporter, de plus en plus difficilement, l’image et les voix des gens de la sphère politique. Je ne les vois que se quereller en public, sur les plateaux télévisés, dans l’hémicycle, partout. Je ne saurai même pas les aimer comme j’aime le chat chez qui je vis, le chocolat et le son des vagues sur le sable. Je suis donc mal placée pour encourager l’amour humain !
C’est surtout une forme de souhait pour l’humanité : parvenir à s’aimer ou au minimum s’accepter, jusqu’à l’Unité. Dans la variété et la différence ! Chercher et trouver ce qui nous relie et nous réunit. Au moins pour celles et ceux qui s’y sentent appelé.e.s.
Pour 2022, mon fil rouge est simple : incarner qui je suis et offrir cela à celleux qui en ont besoin. JE SUIS prête. JE SUIS là. JE SUIS DOULA. Encore EJE dans mon cœur.