Au-delà de ma mémoire traumatique

Précision d’une extrême importance : tout ce qui est écrit ne concerne que MON expérience. Si ça vous choque, alors évitez de vous infliger cette lecture et pensez à fermer la page.

J’ai parfois évoqué le déni d’événements traumatisants dans ma vie d’enfant. La mémoire traumatique a longtemps eu l’avantage sur ma capacité à raisonner. Depuis que j’observe mes personnages et mon ego, la donne change. Le statut de victime est derrière moi. Si je donne l’impression d’analyser avec froideur, c’est parce que les émotions ont été complètement traversées. En bref, c’est fini, c’est le passé.

Divers sujets traités sur fb ont fait cheminer mon regard sur ce qui est arrivé durant mon enfance. Notamment le procès posthume de Françoise Dolto. J’ai été, comme tout un chacun, secouée par ses propos sur l’inceste et les abus sexuel. L’inceste ne me concerne pas car mes parents n’étant pas déviants, ils n’ont pas profité de ladite période nommée « polymorphe pervers » (vocabulaire freudien douteux) que je transformerai en « curiosité sexuelle infantile ».

Ma curiosité sexuelle durant l’enfance a été sévèrement réprimée et réprimandée par mon entourage familial (pas forcément par mes parents d’ailleurs). C’était  » dégoutant et interdit de s’explorer !! » Curieusement je m’en souviens ! Sans autres explications, sans pédagogie ni aucun contenu préventif, l’enfant que j’étais à continuer à trouver ça « intéressant ». Peut-être bien que si j’avais été prévenue du danger des adultes absuseurs et de l’existence de mon consentement, je me serai « défendue ». Or peut-être que l’enfant que j’étais a pensé qu’un adulte avait le droit de faire ça : explorer mon vagin. Puisque moi je n’en avais pas le droit. Avec une notion d’interdit appliquée à moi-même, ça avait du sens, peut-être. Pour le coup je ne me souviens plus du tout des détails. Aujourd’hui, je me dis que ça se tient. Les pensées enfantines sont parfois loin de celles des adultes.

Avec les années, j’ai appris que l’abuseur en question avait été abusé durant son enfance, par son propre père… ça n’excuse pas sa déviance mais ça l’explique ! ça change le regard, ça le contextualise.

Je n’ai pas vraiment de conclusion à ce cheminement de pensées. Depuis des années, je ressens de la compassion pour ces adultes et enfants abusés, parfois devenus aussi déviants, emprisonnés dans un cercle vicieux. Je n’ai pas de solution à apporter, si ce n’est la prévention, l’attention à des comportements « questionnants » et la vigilance.

Je reconnais le travail de Françoise Dolto. Ses dires sont basés sur des réflexions que je respecte. Aujourd’hui, à la lumière de ma mémoire qui n’est plus traumatique, je suis capable d’écrire que dans mon cas, c’est fondé. Je pense que j’aurai pu éviter les actes de l’abuseur. Le contexte le permettait mais peut-être pas ma maturité. Quand je vois la force de vie de certains enfants, je me dis que rien de tout cela ne peut leur arriver. Ils refusent le bisou « forcé » avec une telle vigueur. Ils sont insoumis et peut-être que ça les protège.

De la responsabilité (parentale)

Mea culpa

J’ai encore cédé à la tentation de polémiquer. En même temps, j’avais 5h de tgv à occuper.

Et puis mon ego a besoin de se dégourdir les neurones.

Oui je suis incorrigible. Parfois je me dis que je ferai mieux de fermer ce foutu compte fb, mais il parait que je suis douée pour réseauter. Et comme j’ai détesté LinkedIn et vomi Instagram, il me reste peu d’alternatives.

Donc, j’ai récidivé. Comme je répondais à une fbkienne, j’en ai marre des parents qui se déresponsabilisent pour un oui, pour un non. Oui il y a fautif et oui il y a erreur mais le schéma victime/coupable est biaisé. Avant d’accuser quelqu’un.e à l’extérieur, regarde où TOI en tant que parent responsable tu as failli. Moi aussi je faillis chaque jour. Le but c’est de faire moins d’expériences traumatisantes dans sa vie et celle de nos enfants, oui ou non ?

C’est tout ce que j’avais à dire et ça n’a pas fait l’unanimité. Ça a déclenché un paquet de rageurs et rageuses. Avec toujours les mêmes attaques personnelles, à côté du sujet.

Bref, fb n’a pas beaucoup changé. A moi de regarder plus souvent les pépites que j’y ai retrouvé et que je découvre avec émerveillement.

Homo Paradoxalis dans toute sa splendeur.

Quand mes enfants sont en ma présence, je suis responsable de tout ce qui leur arrive. Si mon enfant avait bu ce verre de vodka, j’aurai été la première responsable. Et ça ne signifie rien d’autre que ce qui est écrit.

Et ouais j’ai un coeur !

Ki sa mi lé ?

Ou sa mi sa va ?

Suite au défi visibilité de Delphine Debeauve, le dernier exercice c’est de se présenter au monde telle que je suis, en vidéo !!

Je suis Mickaëlla. Créole métropolitaine qui comprend le créole de ma grand-mère et de mes parents mais qui est incapable de le parler !!! La suite en vidéo.


Ki sa mi lé = Qui suis-je ?

Kisa ou lé

Source de l’image mise en avant : le dernier Kréol, Edmond René Lauret.

Mon GRAND pourquoi

7ème défi du grand défi visibilité offert par Delphine Debeauve.

J’ai déjà réfléchi à cette question lors du formidable tremplin/bilan de compétences d’oser le job de ses rêves.

Mon WHY, en 2020

«Accompagner l’humain vers l’Être pour qu’il contribue à son tour à un monde meilleur ».

Ma maxime de doula, en 2021

«J’incarne la force silencieuse pour offrir au monde ma présence JE SUIS ».

Le pourquoi de l’EJE écrit hier dans mes valeurs

«La liberté sans horloge. Accueillir et vivre la vie telle qu’elle se présente ».

Mon Grand Pourquoi, en 2022, regroupe le tout

Vivre VIVANTE telle que je suis !

Merci le ChouBrave ! de m’avoir soufflée l’évidence.

Telle que je suis c’est mon potentiel au service de ma vie et d’une société harmonieuse, à laquelle nous aspirons toutes et tous.

Vivante parce que le mode zombie, je connais. Il y a trop de morts-vivants sur Terre aujourd’hui.

C’est une évidence qu’en vivant telle que je suis, je serai un témoignage que c’est possible, accessible et même le sens de la vie. Alors autour de moi, les un.e.s et les autres s’autoriseront à leur tour et à leur rythme, à être qui ils sont.

Merci au groupe du défi visibilité qui m’inspire chaque jour. Merci infini à Delphine pour le temps et l’énergie qu’elle nous partage.

Aimons-nous vivants. (Oui c’est aussi une chanson).

Harmonie

Mes valeurs ?

C’est le 6ème défi dans le grand défi de visibilité « j’ose être visible » offert par Delphine Debeauve.

Sans être difficile en soi, c’est une question qui m’a toujours posée problème, en entretien. Je ne comprenais pas que l’on me demande d’énoncer ce qui m’anime intrinsèquement. Je le vis et c’est visible. Ça ne s’argumente pas. Et puis si c’est important pour moi, je n’exige rien en retour.

Comme à chaque hésitation, j’ai zieuté le dico. Selon le Larousse internet :

Faire une liste de ce qui est posé comme vrai, beau et bien de mon point de vue, c’est possible mais pas définitif. Déjà, au bout de +40 années, je commence à trouver les qualificatifs « beau, bien et vrai » dénués de sens, trop vagues.

Je préfère donc « ce qui a du sens à mes yeux aujourd’hui, c’est d’explorer :

l’Être,

la conscience

et la présence.

Je sens que c’est le fondement et la base de tout, pour changer mon regard sur les expériences de la vie, telle qu’elle se présente à moi. Et si chacun.e commence à s’intéresser à cette aventure, mon petit doigt me dit que ça peut tout changer. D’abord Soi et le monde changera. Car Soi+Soi+Soi etc = un collectif harmonieux.

Il m’aura fallu plusieurs décennies pour l’envisager. Parce que c’est pas faute de l’avoir lu, entendu, répété de la part de plusieurs êtres humains ! Lao Tseu, Yeshua, Gandhi, Martin Luther King, Bernard Weber, Eckart Tollé etc.

Mes expériences professionnelles m’ont montrée que défendre une cause est un processus de longue haleine. Il n’y a rien à attendre, sinon c’est la déception assurée. Vivre ses causes c’est bien plus constructif mais sans y prendre garde, l’égo prend trop de place et c’est le burn-out assuré.

L’idéal reste pour moi de donner l’exemple et en même temps c’est lent, très lent. Mais qui est pressé ? La société que nous avons créée.
Exemple en crèche : c’est l’heure de la chanson du matin pour se dire bonjour, c’est l’heure de jouer, c’est l’heure du change, c’est l’heure de l’histoire le plus souvent TOUS ENSEMBLE même si les enfants n’ont pas envie. C’est l’heure du pipi. C’est l’heure du jardin, c’est l’heure de la sieste et c’est comme ça toute la journée. Et après on s’étonne que les enfants et les adultes soient épuisés, malades, ronchons…

Ma valeur aujourd’hui si j’avais l’occasion de travailler à nouveau en collectivité serait : La liberté sans horloge . Il se passe ce qu’il se passe quand il y a envie et besoin.

Accueillir la vie comme elle se présente.

Ça fait beaucoup à repenser, n’est-ce pas ? Qu’en pensez-vous ? Des idées à partager ? Comme chanter dans le jardin. Lire une histoire sans le groupe entier. Aller se promener sans destination particulière. Etc.

Sortir de sa zone de confort ?

L’injonction préférée du développement personnel

J’ai déjà évoqué dans quelques écrits ma difficulté à la cerner : « sortez de votre zone de confort /pour changer de vie/ pour voir la vie autrement/pour vivre sa vie », etc.

Après avoir rencontré, suivi la pratique qu’elle propose puis écouté Charlotte Hoefman et Joachim, mon ego est en mesure de clamer haut et fort : « j’ai compris !!! » Quel mytho. Va falloir plus de temps que le soir même pour intégrer l’information.

J’ai participé à un week-end découverte «reconnecter à soi »

Comme pour David Laroche, j’ai connu Charlotte Hoefman via sa chaîne YouTube, « par hasard ». J’ai fait l’effort de la rencontrer. Dans un grand groupe. Ce qu’à priori je déteste le plus, donc une des plus risquées sorties de zone de confort jusqu’à aujourd’hui. De ma propre volonté. Grâce à une amie. Je suis toujours vivante.

Il y a des vérités difficiles à contester. Telle que « c’est en forgeant que l’on devient forgeron ». A moins de naître avec un marteau à la main comme Thor. C’est un dieu.
Ce week-end est inracontable, inqualifiable. C’est tentant de raconter mon histoire. En même temps, ça sera insuffisant pour partager la palette de ce qui s’y est passé. C’est mon week-end et celui du groupe. Il ne se passera jamais pareil dans un autre groupe, un autre week-end. C’est une expérience unique. D’ailleurs ces deux mots côte à côte sont redondants. C’est un pléonasme. Donc aucun intérêt de la raconter.

Ce qu’il faut retenir :

La groupie, que je suis, a rencontré Charlotte Hoefman et Joachim. Mon ego avait envie de le partager.
C’est d’une intensité que j’irai vérifier si j’étais vous. Je suis sortie de ma zone de faux confort pour le faire.


12 et 13/03/2022
J’ai voulu vivre cette expérience

« Aide-moi à faire seul.e » ou l’autonomie selon l’adulte

De retour sur fb

Depuis à peine… je ne sais plus, mais déjà trop longtemps !!! Me voilà à polémiquer…Pfff je suis irrécupérable. A croire que l’algorithme sait ce qui va faire réagir mon ego… C’est facedespion que tu devrais te nommer !
Suite à une publication proposée je ne sais par quel hasard facebookien, je vois un jeune enfant enfiler son manteau selon la technique « ancestrale » de l’école maternelle : au sol et par dessus la tête. La dénommée « technique du papillon ».

Je lis les commentaires…

Parce que j’aurai bien aimé être anthropologue, et puis c’est là que c’est intéressant, soyons honnêtes. Je commente (c’est plus fort que moi) en écrivant grosso modo que je n’ai jamais aimé faire ça, ni apprendre aux enfants à le faire parce que PAR TERRE C’EST SALE !!!!! Qui le serine aux enfants 100 fois par jour ? Les adultes !

Au nom de la sacro-sainte autonomie, la règle de base de l’hygiène part en fumée, juste le temps de permettre à l’adulte de gérer le groupe. Pas trop le temps de montrer comment faire, inlassablement pendant des semaines, voire plus. {C’est une vocation de montrer, de transmettre et d’enseigner}.

Les gens font ce qu’ils veulent.

Par contre dire que c’est la meilleure méthode et la seule, non.
Le sol n’a pas le monopole de l’autonomie, une fois que l’on est en position verticale. Le sol des crèches et des écoles est rarement nickel longtemps, qu’on l’accepte ou non. Enlever et enfiler son manteau se fait souvent dans l’entrée et/ou le couloir. Lieu de passage de centaines de semelles de chaussures qui piétinent des trottoirs très souillés, notamment en ville.

Et là, sous mon commentaire apparaît grosso modo que de toutes façons, c’est sale partout : les mains des enfants qui touchent à tout…Hum, merci pour le scoop. Prise au piège, je renchéris « et c’est une raison pour mettre les manteaux par terre ? ». Réponse « et chez vous c’est propre ?» Etc. À ce moment-là, je me rappelle pourquoi j’ai viré fb de ma vie il y a quelques années : les commentaires déplacés qui visent la vie privée.

Tout ça pour dire que fb c’est aussi chiant qu’inspirant. Dommage que tellement de gens confondent l’avis des uns avec la vie des autres.

Pour en revenir à ce que m’évoque cette technique, déjà utilisée dans les années 80 (et sûrement avant), qui n’a rien de révolutionnaire : elle mériterait de disparaître. Elle a fait son temps.

Mon partage sur fb.

Petites vidéos exemples, sur Crowdbunker.

Et l’entraide dans tout ça ?

Adulte, quand je galère à enfiler ma veste ou autre, il y a toujours quelqu’un.e pour m’aider. Alors oui, les enseignants ont « 30 manteaux à aider ». En crèche, c’est possible d’en faire un temps d’apprentissage ludique, sans pour autant utiliser le sol.

En connaissez-vous d’autres des méthodes pour enfiler seul.e son vêtement ? Je les lirai avec plaisir en commentaire.


la procrastination n’existe pas

David Laroche serait-il en désaccord avec ce titre ?

En 5mn qui dure plus de 20…

Longtemps j’ai pensé que j’étais parfaitement douée en procrastination. Tout remettre à plus tard. Faire au dernier moment. Ma spécialité c’est faire dans l’urgence. Non que j’adore ça, mais c’est seulement ainsi que ça semble fonctionner.

Contrairement à GI dans la vidéo de David, chez moi, c’est l’angoisse (notamment de la page blanche) et aucune récompense en retour. Quand je reporte, je n’ai pas l’impression que c’est pour de l’agréable. Compulsivement, je mise sur les tâches du quotidien ou je perds mon temps sur YouTube. Sans plaisir puisque la culpabilité ne me lâche pas.

Ça ne concerne que ma vie privée, mon épanouissement personnel. Quand je travaille, je n’attends jamais. Je fais même immédiatement et c’est très frustrant quand les circonstances m’en empêchent.

Depuis un long moment déjà, je sens que le procrastination est une énième étiquette pour parler d’un phénomène exclusivement humain. Alors que je le ressens plus comme « ce n’est pas le moment », tout simplement. J’ai déjà tenté de m’y mettre avant d’atteindre la date échéance écarlate, ça ne donne pas un résultat meilleur. L’urgence est ma solution. C’est devenu une croyance que c’est mieux comme ça. Parce que la plupart de mes expériences l’ont démontré. Pourtant cela génère du stress. Nécessaire ? Évitable ?

J’ai accroché tout de suite avec David Laroche, il y a quelques années. Il est charismatique. Puis je me suis lassée de tout ce dynamisme et j’ai arrêté de l’écouter. Sûrement parce que je n’arrivais pas à le suivre.

Globalement, je me lasse rapidement d’écouter des gens en vidéos. Je préfèrerai parler avec eux, directement. C’est aussi pour cette raison, que je me détache peu à peu des réseaux sociaux. Paradoxalement, je ne fais pas plus d’effort pour les rencontrer.

J’ignore pourquoi ma vie est telle qu’elle est. Ce que je sais, c’est que la motivation n’a rien à voir avec ce qui est nommé « blocages ». Nous sommes d’accord, David et moi à ce sujet. C’est bien plus compliqué que ça. J’ai besoin d’être alignée. De sentir. De ressentir que c’est possible. Que c’est maintenant le bon moment.

C’est lent. Très lent. Et en même temps, suis-je pressée ?

Eloge de la lenteur

Si j’étais un mammifère sans obligations matérielles et financières, aurais-je besoin d’objectifs à atteindre, de rêves à réaliser, d’argent à gagner ? Et si je n’avais pas envie de vivre la vie proposée aux humains ? Et si j’avais juste envie d’ ÊTRE ici, pour vivre tout simplement avec ce que la nature m’offre ? J’imagine qu’on me répondrai que je me serai incarnée en marmotte, si tel était le but de mon existence. Or je suis Mickaëlla. Et en même temps, je suis là pour être qui je suis et pas ce que l’on me demande.

Je suis ici pour montrer qu’il est possible d’Être avant de faire.

La procrastination n’existe donc pas. Il y a toujours un moment opportun pour tout. Si ce n’est pas maintenant, c’est plus tard, ou pas.

Éloge de la procrastination :

« Procrastiner, c’est se donner le droit de faire ce que l’on veut. Procrastiner, c’est s’accorder d’écouter au lieu de dire, de regarder au lieu de pointer du doigt.
Prenez l’exemple de la lecture. Quand vous avez pour la première fois été capables de lire un livre, vos parents ne pouvaient vous en décrocher : vous vouliez toujours plus d’histoires, plus de contes, plus d’aventures. Et du moment que l’école a commence à vous dire qu’il était obligatoire de lire, alors chaque page est devenue corvée. Car en vérité, ce sont bien les délais et les obligations qui minent nos existences. Donnez une balle à un enfant et il jouera avec toute la joie qui lui est caractéristique. Forcez-le à faire du sport parce que c’est pour son bien , et soudainement le ballon rond perd toute sa magie
. »


Un défi et un mars !

(Le mois de mars. J’aime pas la barre chocolatée.)

Le défi de Delphine Debeauve

Je connais Delphine depuis quelques années. Je ne sais plus si c’est via Fabienne Bizet ou l’inverse. Je suis abonnée aux messages de l’univers. Ces messages quotidiens sont appréciés par mon âme, moins par mon mental.

Celui d’aujourd’hui est parfaitement inspiré et inspirant !

J’ai accepté le défi de Delphine ! Ça m’a coûtée un petit bout d’alignement avec mon cœur. Parce que j’ai ré-ouvert un compte fb pour rencontrer la communauté. Je sais les bienfaits des échanges avec une communauté bienveillante qui te ressemble. Je me rappelle aussi pourquoi j’ai quitté Mark.

Le défi est là :Fb et Ig

ça démarre fort : vraie photo de profil, selfie, présentation, partage de comptes réseaux sociaux. Le défi n’a pas encore démarré ! Bref, tout ce que je déteste de la VISIBILITÉ 2.0.

Mars sera chargé. Je sens l’énergie qui revient après un début d’année COVIDESQUE !

Je pars en reconnexion avec moi-même, accompagnée d’une amie, chapeautées par Charlotte Hoefman.

Je retrouve des doulamies pour découvrir le rituel du bain sensoriel ®

Et ensuite si le miracle a lieu, je retourne sur la Terre de mes ancêtres !!!

Vues les circonstances, il s’agira bien d’un miracle.

HUMOUR
Et plus, son emballage est un déchet presque pas recyclé ! Un mars et ça ne repart même pas.

Beomai et BeOhMy

Il a fallut que je me ré-ouvre un compte fb (honte sur moi) le temps d’une courte formation pour que je découvre ce projet innovant et plein d’avenir ! Qu’est-ce que ça m’aurait rendu service il y a 22 ans. Je suis née trop tôt ou au mauvais siècle ! J’en parlerai aux familles qui me feront confiance pour les accompagner un bout de chemin avant, vers et après la naissance.

Beomai

J’en parle ici parce qu’après tout, il y a peut-être encore des gens qui prennent le temps de lire des suites de mots qui forment des phrases et partagent des idées. Qui sait ? Pas moi, je ne sais même pas où sont les statistiques de ce site. Depuis que j’ai fermé la page fb et quitté Instagram, la visibilité a sombré, ça s’est vérifié par le peu de commentaires. J’ai bien compris que le monde était très pressé d’aller vite. Et lire, c’est long.

Pour faire simple, concis et efficace, je n’invente rien. Je cite :

« Beomai, c’est quoi ?

Une application mais pas seulement !

  • 1. Rejoignez votre espace de grossesse privé
  • 2. Créez votre journal de bord quotidien
  • 3. Partagez vos émotions avec votre conjoint(e)
  • 4. Faites vivre votre liste commune de prénoms
  • 5. Accédez à des articles de professionnels de la périnatalité, bien vus et sans tabous
  • 6. Faites imprimer votre livre de grossesse personnel : vos souvenirs précieux dans un bel écrin »

C’est génial !! C’est normal, ma coeur cœur paillettes préférée fait partie du projet. Bravo à elle et à l’équipe pour cette lumineuse idée !!

Encore un peu de patience, c’est en cours de gestation. Ça finalise sa beauté !

Guider c'est montrer les pistes. "Chacun sa route, chacun son chemin". La solution est en chacun de nous.