Pour cette édition 2018 du Festival International des Jeux, je m’y suis rendue en famille, dimanche après-midi…Très mauvaise idée, puisque que tous les gens des environs ont eu la même. Il pleut depuis des semaines, il faut bien passer le temps ! C’était compliqué de s’y rendre à un autre moment. Chanceux, nous avons trouvé rapidement une place gratuite, malgré tout le secteur bouclé. Nous sommes entrés, sans attente, grâce à l’accès famille qui donne directement à l’étage, aménagé pour les enfants. Heureusement, parce qu’il pleuvait fort ! Aparté : par mesure de sécurité, nous avons du laisser une bouteille d’eau d’1,5 L à la consigne…trop grande. J’avais prévu une gourde plus petite, on a pu boire. Je comprends ces mesures mais à 4, une bouteille était utile pour s’hydrater dans ce lieu surchauffé. Comme par hasard, il était possible d’acheter le même format à l’intérieur. C’est le genre de détail que je trouve agaçant.
J’ai passé trois heures dans un brouhaha, comme je les déteste et avec des annonces régulières et anxiogènes d’enfants perdus. C’était pour la bonne cause : JOUER. Cela dit, ceux qui me connaissent bien savent que, jouer n’est pas vraiment ma spécialité. Je préfère observer les autres. J’ai bien essayé de jouer avec Cadet mais ce fut compliqué, peu de places à chaque atelier ou énormément d’attente. Il est facile à contenter, donc l’impasse sur l’aire des @playmobil a été bien vécue pour découvrir des jeux nouveaux. Il a du renoncer aussi à la peinture, ça a été plus compliqué. Il a réussi à se détendre avec le sable magique pendant un long moment. J’ai fait mon EJE, en laissant le papa avec ses fils, pour aller découvrir les nouveautés, avec pour mission de trouver un jeu familial (dès 4 ans) à durée supportable pour tous et amusant ! Sacré défi !
Nous y avons tous trouver notre compte, les grands ont tester des jeux vidéos et/ou des jeux virtuels, les autres des jeux d’enfants. Malgré l’oppression du bruit et de la foule, il était possible de trouver des temps et lieux plus calmes, à l’écart, pour goûter et se ressourcer. Les stands de bonbons sont toujours là, pour le fameux : des jeux et du…sucre !
J’ai rempli ma mission. Avec l’aide des personnels du festival et leurs conseils, démonstrations et après de nombreux tests et d’hésitation, j’ai opté pour Kikou le coucou d’Haba : il faut aider ce curieux oiseau à faire son nid… Bon, Cadet et moi, avons un degré de patience assez bas, donc ça a plus le don de nous énerver, mais on rigole bien quand même !
Bilan : l’année prochaine, je trouverais le moyen d’y aller vendredi, quand il y a moins de foule, pour au moins faire du repérage.